Objectifs spécifiques


  • Constater les caractéristiques d’une bonne question
  • Appliquer le modèle PICOT pour formuler une question clinique

Faits intéressants :

info_outline Consigne : glissez votre souris sur les images pour lire les faits intéressants.

Un généraliste assis sur un point d'interrogation se questionne

Un généraliste peut se poser entre 15 et 20 questions par jour

Un clinicien avec un point d'interrogation au-dessus de sa tête et deux patients derrière lui se questionne

Un clinicien se pose au moins une question pour deux patients

Un clinicien entouré des points d'interrogation se gratte la tête

Entre 50 et 75 % des questions vont généralement demeurer en suspens (sans réponse)

Une clinicienne tient un chronomètre démontrant entre 2 et 3 minutes pendant qu'elle est entourée dans 9 bulles

Les cliniciens se donnent moins de deux à trois minutes par jour pour répondre aux questions qu’ils se sont posées

Pourquoi formuler une question?

Les écrits révèlent que les professionnels qui prennent le temps de rédiger une question :

posent des questions plus précises;

font plus souvent des recherches pour trouver la réponse;

ont de meilleures stratégies de recherche pour trouver les réponses;

trouvent plus aisément la réponse à leur question.

L’élaboration d’une question est donc utile pour combler un manque d’information ou préciser vos connaissances. Elle doit aborder des questionnements fréquemment rencontrés dans votre pratique afin d’améliorer vos interventions.

Dans le cadre de la pratique factuelle, la question bien formulée est un élément clé du processus de décision clinique.

info_outline Consigne : tournez les cartes suivantes et constatez les caractéristiques d’une bonne question.


 

centrée sur le patient ainsi que sur les besoins du professionnel

 

concise


 

claire


 

éthique

 

pas trop ambitieuse


Vidéo : Le professionnel se questionne...

Transcription

help Questions :

Est-ce que vous vous questionnez comme Bernard au cours de votre journée?

Pouvez-vous donner trois exemples de questions que vous vous êtes posées au cours de la dernière semaine en les tapant dans l’espace prévu à cette fin?

info_outline Consigne : cliquez sur le début des phrases suivantes pour comparer les différences.

Un professionnel qui ne se pose pas de question sur sa pratique...est un clinicien qui effectue des interventions en mode automatique. L’idée de se poser des questions lui semble peut-être une perte de temps plutôt qu’une nécessité ou une occasion manquée d’améliorer ses apprentissages.

Un professionnel qui se pose des questions...
 
est un clinicien qui fait de la pratique réflexive. Il réévalue l’efficacité de ses actions. Il se questionne pour tenter de peaufiner son plan d’évaluation et d’intervention dans le but d’utiliser les moyens les plus efficaces pour obtenir des résultats positifs.

D’ailleurs, selon Brownhill et al. (2017), la première question à se poser comme professionnel est la suivante :

help Comment puis-je améliorer ma pratique?

Les types de questions cliniques

Il existe deux types de questions cliniques :

Une infirmière aide sa patiente âgée qui est diabétique utilise son glycomètre
Une clinicienne souriante avec ses mains sur les épaules de sa patiente de 85 ans avec des troubles perceptuels qui sourit aussi

1 Arrière-plan (background)

2 Premier plan (foreground)

Ce sont des questions de connaissances générales dont on retrouve souvent les réponses dans des livres. Ce sont aussi des questions qui permettent de comprendre le contexte.

La question commence par les mots :

OÙ, QUOI, QUEL, QUAND, POURQUOI, COMBIEN?

Ce sont des questions spécifiques liées à des situations cliniques et qui aident au processus de décision clinique quant aux interventions les plus appropriées.

Elles comprennent habituellement plusieurs composantes que nous verrons sous peu.

Exemples

Vous recevez une patiente diabétique qui présente des difficultés à contrôler son taux de sucre. Vous vous posez la question :


help Quel est le taux de sucre qui présente des risques pour un patient diabétique?

Une patiente de 85 ans se présente avec des troubles perceptuels qui la limitent dans la réalisation de ses activités de vie domestique (AVD). Vous ne savez pas de quelle façon intervenir et vous ne pouvez pas consulter de collègues.

Pouvez-vous nommer deux exemples de questions d’arrière-plan que vous pourriez vous poser sur ce même sujet en les tapant dans l’espace prévu à cette fin?

Pouvez-vous nommer deux exemples de questions de premier plan que vous pourriez vous poser sur ce sujet en les tapant dans l’espace prévu à cette fin?

En relisant vos questions énumérées à la section du vidéo, êtes-vous en mesure de distinguer le type de question dont il s’agissait?


info_outline Consigne : cochez si vos questions sont du type arrière-plan, premier plan ou les deux.

Fait intéressant :

Plus vous prenez de l’expérience, plus les questions de premier plan deviennent fréquentes comparativement à celles d’arrière-plan.

info_outline Consigne : déplacez la ligne verticale pour indiquer où vous pensez vous situer.

Un dessin démontrant plus qu'un étudiant ou un professionnel novice devient un clinicien expert, plus il pose des questions de premier plan (orientation clinique) plutôt que des questions d'arrière plan (savoirs théoriques et fondements) Un dessin démontrant plus qu'un étudiant ou un professionnel novice devient un clinicien expert, plus il pose des questions de premier plan (orientation clinique) plutôt que des questions d'arrière plan (savoirs théoriques et fondements)

Référence

Défis pour l’étape 1

info_outline Consignes :

  1. Pouvez-vous identifier les défis à formuler une bonne question clinique?
  2. Tapez-les dans l’espace prévu à cette fin.

Les écrits font état de plusieurs défis en lien avec la formulation d’une question.


info_outline Consigne : tournez les cartes suivantes pour les découvrir.


Le professionnel :

 

manque de temps

 

juge la question non urgente


 

oublie la question


 

ne croit pas qu’une réponse utile existe

 

n’en voit pas l’avantage en fonction de l’énergie demandée, etc.


Pour contourner les défis que pose cette étape, nous vous proposons entre autres certaines de ces stratégies.

info_outline Consigne : cliquez sur les flèches pour naviguer d’une stratégie à l’autre.

Une femme dessine un organigramme pour catégoriser ses questions

catégoriser vos questions : elles ne méritent pas toutes d’être traitées avec la même importance

Un surligneur avec la date du 21 encerclée sur un calendrier pour planifier le moment d'accorder un peu de temps à la recherche de réponses

planifier le moment qui vous permet d’accorder un peu de temps à la recherche de réponses

Un homme utilise un dessin avec un nuage et différentes technologies (téléphone, ordinateur) pour indiquer où il a archivé ses questions

archiver vos questions : trouver un endroit pour conserver vos questions et y revenir quand vous aurez du temps pour y répondre

Une main écrit le mot PICOT avec un stylo

utiliser le modèle PICOT

De façon spécifique, la recherche documentaire pour trouver une réponse à votre question gagnera en efficacité si elle est :

Voyons maintenant cette première stratégie plus en détail.

Se donner une structure : Le modèle PICOT

Au début des années 1990, le format  PICO est celui utilisé pour apprendre à formuler une question concise. Plus récemment, le modèle PICOT est aussi une structure proposée dans les écrits.

Il s’agit donc d’apprendre à formuler une question qui tient compte des éléments clés suivants :

info_outline Consigne : cliquez sur chaque lettre pour plus de détails.

P pour identifier la population :

L’identification de la population (âge, sexe, ethnie, pathologie...) dans la question permettra de trouver des résultats qui pourront éventuellement être comparés au cas clinique pour lequel la recherche d’informations est nécessaire. Toutefois, vous serez chanceux de trouver une étude pour laquelle les critères de la population correspondent exactement à ceux de votre patient (même âge, même ethnie, même sexe). Il faut donc identifier votre population d’une manière assez globale.

I pour identifier l’intervention

Ensuite, le type d’intervention qui nous intéresse doit aussi être clairement exprimé dans la question afin que vous puissiez obtenir de l’information qui vous permettra de prendre la meilleure décision clinique. Est-ce que vous cherchez une thérapie, un outil d’évaluation, une mesure préventive, ou un facteur de risque? Ceci implique de votre part de cibler la catégorie dans laquelle vous devez faire votre recherche.

C pour comparer divers tests ou interventions

En effectuant la comparaison de deux types d’intervention clinique dans la question initiale, vous vérifiez si des approches cliniques nouvellement utilisées sont aussi efficaces que l’approche que vous utilisez présentement. Dans certains cas, l’intervention peut se comparer à l’absence d’intervention.

O pour regarder la validité des résultats (outcomes) en fonction du cas proposé

En élaborant une bonne question, vous ciblerez les résultats qui vous intéressent et qui encourageront l’application d’une intervention (ou évaluation) soutenue par les preuves scientifiques. Dans un même domaine, par exemple la réadaptation physique, les interventions visent des résultats différents. Ainsi, une intervention peut permettre d’augmenter l’amplitude articulaire, mais pas la force musculaire. Le résultat que vous ciblez dans votre question, est celui que vous cherchez à obtenir puisqu’il est important pour votre patient.

Il se peut aussi que les résultats trouvés vous découragent d’utiliser une intervention s’ils démontrent des effets indésirables ou une absence d’efficacité à la suite de l’intervention.

T pour identifier le temps requis pour démontrer les résultats attendus

Enfin, certains auteurs ajoutent le temps à la question PICOT afin de préciser la période que vous ciblez pour voir l’effet de l’intervention, c’est-à-dire les résultats attendus. Par exemple, certaines interventions ont des effets à court terme qui ne se maintiennent pas à long terme. Ou encore, l’intervention choisie pourrait prendre six mois avant de démontrer un changement positif. Cet élément n’est pas requis pour toutes les catégories de question.

Catégories de question PICOT

Il existe cinq catégories de question PICOT qui touchent différentes sphères de la pratique.


info_outline Consigne : cliquez sur les boutons suivants pour en savoir plus sur ces cinq catégories.


Vous vous poserez parfois des questions qui touchent ces éléments :

Intervention
Pronostic
Test d’évaluation
Étiologie
Sens

À noter :

Le modèle PICOT est utilisé pour les questions de type 2 - premier plan. Pour les questions de type 1 background (arrière-plan), ce modèle n’est pas nécessaire alors que pour des questions se prêtant davantage à la recherche qualitative, d’autres modèles sont proposés.

Dans les études de l’étendue de la connaissance (Scoping Review), le modèle PCC (Population, concept, contexte) est recommandé par le Joanna Briggs Institute (2017) et Archibald et al. (2016). En recherche qualitative, le modèle SPICE (S : setting (milieu); P : perspective d’une population; I : sujet d’intérêt; C : comparaison; E : évaluation (connaissances, pratiques, valeurs...) a été proposé pour remplacer le modèle PICOT.

assignment Activité 1 : Réflexion sur le modèle PICOT

info_outline Consignes :

  1. Tapez, dans l’espace prévu, un exemple pour chaque catégorie du modèle PICOT.
  2. Cliquez ensuite sur nos exemples pour consulter une réponse possible.

Population

Pouvez-vous penser à un exemple de population pour laquelle vous auriez à effectuer une recherche?

Intervention

Pouvez-vous penser à un exemple de question pour une intervention ou un pronostic qui concerne votre profession?

Comparaison

Pouvez-vous penser à un exemple dans lequel vous comparez deux interventions en lien avec votre profession?

Outcomes

Pouvez-vous l’insérer dans une question de type PICOT?

Êtes-vous en mesure d’identifier la catégorie dans laquelle se situe votre question?





Temps requis

Pouvez-vous penser à un exemple de question dans laquelle il importe de préciser le temps nécessaire pour observer les résultats?

Devoir optionnel

Vous pouvez copier vos réponses et les acheminer au formateur (bpinet@uottawa.ca) afin qu’il vous donne de la rétroaction.


Rappel :

N’oubliez pas que le formateur peut répondre à vos questions à tout moment au cours de la formation.

Vous pouvez lui écrire un courriel :  bpinet@uottawa.ca

assignment Activité 2 : Application du modèle PICOT

Étape 1 : Formuler une bonne question clinique à partir d’une problématique

Situation clinique : les fractures de hanche chez les personnes âgées
Un homme vient de tomber et s'est fracturé la hanche

Les fractures de hanche chez les personnes âgées de 65 ans et plus sont causées dans 90 % des cas par des chutes qui sont responsables d’un taux élevé d’hospitalisations.

Les pieds d'un cadavre dans une morgue avec une étiquette attachée à l'orteil

De plus, les fractures de hanche sont la cause de plusieurs décès chez les personnes âgées de 85 ans et plus.

Une tirelire sous forme d'un petit cochon rose et un stéthoscope pour représenter une économie de l'argent dans le système de santé

En revanche, une réduction du pourcentage des chutes chez les aînés se traduirait par une économie de plusieurs millions de dollars par année dans le système de santé.

Un couple âgé lit une brochure sur la prévention des chutes

Vous savez que la plupart des personnes âgées pour lesquelles vous voulez conduire votre étude reçoivent des brochures d’information à domicile sur la prévention des chutes.

À la lumière de ces informations, vous vous demandez si un programme d’exercices en groupe serait bénéfique pour diminuer le nombre de chutes chez ces personnes âgées.

info_outline Consignes :

  1. Rappelez-vous le modèle PICOT et tentez de définir les cinq éléments (PICOT) de cette situation clinique dans les espaces appropriées ci-dessous.
  2. Appuyez ensuite sur Comparez votre réponse avec la nôtre pour une réponse possible.

Population :

L’identification de la population (âge, sexe, ethnie, pathologie...) dans la question permettra de trouver des résultats qui pourront éventuellement être comparés au cas clinique pour lequel la recherche d’informations est nécessaire. Toutefois, vous serez chanceux de trouver une étude pour laquelle les critères de la population correspondent exactement à ceux de votre patient (même âge, même ethnie, même sexe).

Intervention :

Ensuite, le type d’intervention qui nous intéresse doit aussi être clairement exprimé dans la question afin que vous puissiez obtenir de l’information qui vous permettra de prendre la meilleure décision clinique. Est-ce que vous cherchez une thérapie, un outil d’évaluation, une mesure préventive, ou un facteur de risque? Ceci implique de votre part de cibler la catégorie dans laquelle vous devez faire votre recherche.

Comparer :

En effectuant la comparaison de deux types d’intervention clinique dans la question initiale, vous vérifiez si des approches cliniques nouvellement utilisées sont aussi efficaces que l’approche que vous utilisez présentement.

Outcomes (Résultats) :

En élaborant une bonne question, vous ciblerez les résultats qui vous intéressent et qui encourageront l’application d’une intervention (ou évaluation) soutenue par les preuves scientifiques. Le résultat est ce que vous cherchez à obtenir puisqu’il est important pour votre patient. Il se peut aussi que les résultats trouvés vous découragent d’utiliser une intervention s’ils démontrent des effets indésirables ou une absence d’efficacité à la suite de l’intervention.

Temps :

Certains auteurs ajoutent le temps à la question PICOT afin de préciser la période que vous ciblez pour voir l’effet de l’intervention, c’est-à-dire les résultats attendus. Par exemple, certaines interventions ont des effets à court terme qui ne se maintiennent pas à long terme. Ou encore, l’intervention choisie pourrait prendre six mois avant de démontrer un changement positif. Cet élément n’est pas requis pour toutes les catégories de question.

Rédigez votre question clinique à partir des 5 éléments du modèle PICOT que vous avez bien cernés :

D’autres modèles en bref

Comme mentionné plus haut, le modèle PICOT est utilisé pour les questions de premier plan. Pour les questions d’arrière-plan ou des questions se prêtant davantage à la recherche qualitative, d’autres modèles sont proposés (PCC, SPICE, etc.). Il en existe plusieurs, mais nous allons nous limiter à présenter le PCC.

Le modèle PCC

Ce modèle est conçu pour aider à répondre à des questions générales comme l’étendue des connaissances sur un sujet.

Définitions :

info_outline Consigne : cliquez sur chaque lettre pour plus de détails.

P pour identifier la population

L’identification de la population (âge, sexe, ethnie, pathologie...) dans la question permettra de trouver des résultats pertinents au contexte clinique pour lequel la recherche d’informations est nécessaire.

C pour les concepts sur lesquels portera la recherche

Les concepts principaux sur lesquels vous souhaitez de l’information doivent être précisés. Il peut s’agir d’un phénomène d’intérêt, d’une intervention ou de certains résultats attendus ou non attendus d’une intervention.

C pour le contexte d’intérêt pour la recherche

Le contexte peut inclure, sans s’y limiter, le milieu de soins qui vous intéresse, la considération de facteurs culturels, socioéconomiques ou géographiques, etc.

Pour les professionnels novices ou les personnes qui vont travailler dans un nouveau champ de pratique, il peut être utile de poser des questions générales sur les types d’interventions qui existent pour une population donnée ou sur les symptômes les plus préoccupants pour une population donnée avant de pouvoir formuler une question PICOT visant à vérifier les résultats qu’une intervention précise produit sur les patients.

Voici des exemples de questions qui pourraient faire l’objet d’études de l’étendue des connaissances et les mots clés qui y seraient associés selon le modèle PCC.

Quelles réactions neurologiques ont été rapportées chez les adolescentes à la suite de la vaccination contre le virus du papillome humain lors des campagnes de vaccination en milieu scolaire?

Que savons-nous des programmes d’exercices pour les patients diabétiques (types de programme, milieux dans lequel ils sont offerts, type de recherche effectuée à ce jour sur les effets de ces programmes, lacunes à combler par des recherches futures)? 

P (Population) : adolescentes vaccinées contre le virus du papillome humain

P (Population) : patients diabétiques

C (Concepts) : réactions de type neurologique secondaires à l’administration du vaccin

C (Concepts) : programmes d’exercices

C (Contexte) : vaccination en milieu scolaire

C (Contexte) : non précisé

assignment Activité

info_outline Consignes :

  1. Tapez, dans l’espace prévu à cette fin, une question d’arrière-plan pour laquelle vous pouvez créer une question PCC.
  2. Ensuite, identifiez les trois éléments PCC.
  3. Cliquez sur nos exemples pour consulter une réponse possible.

Enfin, le modèle PCC peut remplacer le modèle PICOT pour des questions de premier plan, mais qui ne comportent pas une réelle intervention.

info_outline Consigne : cliquez sur les boutons suivants et voyez comment on pourrait appliquer ce modèle aux exemples vus précédemment.

Test d’évaluation
Étiologie
Sens

Concepts clés

Découvrez les concepts clés qu’il est important de retenir pour l’étape 1 de la PFDP.

  • Le modèle PICOT est le modèle de choix pour la formulation des questions cherchant à savoir si une intervention produit des résultats.
  • Le modèle PCC est le modèle pour guider les questions portant sur d’autres types de préoccupations cliniques.

Rappelez-vous, bien formuler votre question facilitera les démarches à l’étape 2.

Consultez des liens utiles dans la section Ressources de la barre de navigation (coin supérieur droit) : 

barre de navigation
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